TOURNAGE A TRETS DU TELEFILM
"LE MIROIR DE L'EAU"

Saga estivale 2004 de France2  

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Line Renaud : « Paris en août, c'est un village »

(PHOTOPQR/« NICE MATIN »/F. FERNANDES.) ELLE VIENT de fêter ses 76 ans, et elle est plus active que jamais ! Entre tournages et chanson, Line Renaud s'occupe si bien qu'elle ne quitte sa belle demeure de Rueil-Malmaison (Hauts-de-Seine)... que pour visiter Paris avec ses amis !

Vous avez été très occupée cette année...
Line Renaud. :
Juste après le tournage du « Miroir de l'eau », qui s'est déroulé au printemps près d'Aix-en-Provence et de Draguignan, j'ai enchaîné avec le tournage de « Menteurs, menteuses », une comédie qui sera diffusée à la fin de l'année sur TF 1. Avec Pierre Mondy, nous jouons le rôle d'un couple d'avocats qui veut transmettre son cabinet à des jeunes. Et puis il y aura le deuxième volet de la trilogie de Claude Lelouch, « le Genre humain », qui sort à la rentrée au cinéma. [...] Que ferez-vous à la rentrée ? Début octobre, je vais tourner un téléfilm pour France 2, mis en scène par Edouard Molinaro. C'est une histoire qui est inspirée du roman de Jeanine Boissard, « Recherche grand-mère désespérément ». Mais ce qui me prend le plus de temps, c'est de préparer le gala contre le sida qu'organise Pascal Obispo le 1 e r décembre au Théâtre du Châtelet avec le Grand Orchestre de Paris. Il en sortira d'ailleurs un CD auquel participeront de nombreux chanteurs. Ce combat-là, j'y tiens tellement. Quel effet vous fait le formidable score réalisé par le « Miroir de l'eau » sur France 2 lundi dernier (8 millions de téléspectateurs) ? C'est un cadeau extraordinaire. La direction de France 2 m'a donné les courbes d'audience quart d'heure par quart d'heure : on dirait que personne ne s'est levé de son fauteuil pendant tout l'épisode ! Mais j'aurais tellement voulu partager la joie de ce succès avec Didier Bienaimé (NDLR : le comédien, qui joue le rôle de Paul, est décédé brutalement le week-end dernier). C'était un garçon tellement bon et plein de poésie. Je lui avais promis de venir le mois prochain inaugurer la roue de son moulin à eau, qu'il venait de restaurer avec des amis près de Troyes.

Propos recueillis par Jérôme Glaize
Le Parisien , samedi 14 août 2004

RENCONTRES
Cristiana Reali la fervente

Il ne faut pas l’oublier : elle est Brésilienne. C’est-à-dire chaleureuse, sensuelle, ensoleillée, vibrante d’énergie... Cette jolie brune, au physique romantique mais au tempérament de feu, est l’héroïne du “Miroir de l’eau”, la saga estivale de France 2. Une histoire de passion qui lui colle à la peau.
Son énergie est une traînée de poudre. Cristiana Reali est une jeune femme tout feu tout flammes dont les emballements se transforment inévitablement en embrasements. Quand elle aime et quand elle s’engage, dans sa vie comme dans son métier, c’est bec et ongles s’il le faut, mais sans demi-mesure. À la mi-août, on va retrouver cette brune incandescente au regard clair dans “ le Miroir de l’eau ”, la série estivale en quatre épisodes de France 2 féconde en secrets de famille, morts mystérieuses, apparitions fantomatiques et personnages énigmatiques, comme il se doit dans toute saga destinée autant à faire rêver que frissonner.

Entre suspense psychologique et fantastique, il y a dans “le Miroir de l’eau” une atmosphère à la “Rebecca”, le roman de Daphné Du Maurier que Hitchcock avait porté à l’écran. Comme tous les Brésiliens (puisqu’elle est née à São Paulo), je suis superstitieuse et la mort et le surnaturel me fascinent. ”
Antoine (Bernard Yerlès), fils aîné de la famille Castella, rentre d’un long exil de vingt-cinq ans pour découvrir qu’Isaure, son amour de jeunesse, a été tuée. La sœur d’Isaure, Gabrielle (Cristiana Reali), a gommé ce souvenir sur lequel sa mère (Line Renaud) a jeté un voile impénétrable. Un nouveau meurtre va réveiller les fantômes du passé et les faire resur-gir à travers les yeux d’Alice, une petite fille capable de communiquer avec les morts.

Le tournage aura duré quatre mois, à raison de dix heures par jour, du côté d’Aix-en-Provence. “ Les deux petites sont restées à Paris avec Francis. ” Les deux petites, ce sont Élisa, six ans, et Toscane, un an et des poussières, et Francis, c’est bien sûr Francis Huster, avec qui elle forme depuis quinze ans un couple à chaux et à sable. Et comme elle porte à l’annulaire de la main gauche une bague qui ressemble furieusement à une bague de fiançailles et un anneau qui ressemble furieusement à une alliance, on lui demande si, par hasard, ils ne se seraient pas mariés en catimini. Elle assure que non, que ces deux bagues lui ont été offertes par Francis pour la naissance des petits anges, et elle vous le dit avec une telle spontanéité que l’on aurait vraiment mauvaise grâce à se montrer sceptique.

D’ailleurs, puisqu’on parle de lui et qu’ils sont décidément inséparables, voilà Francis qui déboule dans le petit salon d’hôtel où Cristiana donne ses interviews, toujours amical et tout de même pressé, il avait juste deux mots à lui dire, le voilà déjà qui repart.
J’ai toujours adoré les enfants, mais je voulais être sûre d’avoir trouvé le père. Et puis, je ne voulais pas arrêter de travailler pour m’en occuper exclusivement. Je ne suis pas carriériste, mais mon épanouissement personnel passe par mon travail, et ce n’est que comme ça que je peux permettre aux petites d’être heureuses et de s’épanouir à leur tour. Ma mère et deux de mes sœurs sont à Paris, ce qui me facilite beaucoup les choses, et j’ai la chance d’avoir des moyens suffisants pour pouvoir me faire aider. ”

Quand on s’extasie sur la solidité de son couple, elle répond avec un sourire par une phrase du poète et chanteur brésilien Vinicius De Moraes : “ “L’amour est éternel tant qu’il dure”, il faut croire à l’éternité des choses, mais je n’ai pas l’orgueil de penser que rien ne peut m’arriver. Seulement, je pourrais avoir le plus beau rôle du monde, je m’en ficherais si ma vie sentimentale ne fonctionnait pas et, dans l’autre sens, l’amour aide à faire passer des pilules professionnelles, du genre mauvaise ambiance sur un tournage, mauvaises critiques, voire être refusée sur un projet auquel je tiens. Avec Francis, on se connaît par cœur, au point que j’ai l’impression d’être une partie de lui. ”
Tableau idyllique qu’elle corrige tout de même malicieusement : “ Ce qui ne nous empêche pas de beaucoup nous engueuler.

Madame Figaro du samedi 14 août 2004. Par Christian Gonzalez [13 août 2004]

C'est lui qui réveille les fantômes
« Le Miroir de l'eau » (2/4)

TOUT EST DE SA FAUTE. Les fantômes qui se réveillent, les consciences qui se tourmentent, les couples qui explosent... et les 8 millions de téléspectateurs - dont 5 millions de téléspectatrices - réunis la semaine dernière par le premier épisode du « Miroir de l'eau ».

En revenant en Provence après vingt-huit ans d'exil, Antoine Marange, héros masculin du feuilleton de l'été de France 2, a mis un terme à la tranquillité du clan Castella, pour le plus grand bonheur du public. Une lourde responsabilité assumée par Bernard Yerlès. Face à Cristiana Reali et à Line Renaud, le comédien prête sa belle gueule d'ange blond, ses épaules carrées et sa mâchoire virile à ce personnage perturbateur. « Ça me plaît d'être l'élément déclencheur, le grain de sable qui va enrayer la machine », confie-t-il d'une voix pourtant très douce.
« Quand c'est trop lisse, cela ne m'intéresse pas » L'homme ne fait pas du tout ses 43 ans. Un atout qui lui permet d'être aussi crédible en héros romantique (« Sandra, princesse rebelle », série qui l'a révélé à la télévision en 1995) qu'en flic comique (« les Duettistes », avec Zabou, en 1999) ou en traître résistant (« Jean Moulin », 2003). La télé lui a donné ses rôles les plus marquants depuis dix ans, mais ce n'est pas son univers d'origine. Il vient du théâtre, où il a longtemps joué exclusivement et dont il a gardé une attirance pour les rôles bien écrits. « Il y a sur le service public une exigence de qualité qui me convient, relève-t-il. Je ne dis pas que ce n'est jamais le cas sur TF 1, mais les feuilletons qu'ils m'ont proposés ne m'ont pas accroché comme celui du Miroir . Ici, les personnages ont de l'épaisseur. Ils ne sont pas tout d'une pièce. En lisant le scénario, je me demandais même qui était réellement Antoine, si lui aussi ne cachait pas certaines choses. » Cela, on le saura dans les épisodes à venir. Depuis, Bernard s'est fait son idée : « C'est quelqu'un qui n'est pas allé au bout de sa première histoire d'amour. Comme Gabrielle, il doit se reconstruire sur les bases d'un passé enfoui. Je trouve ce thème très intéressant. » Pour qu'un scénario le séduise, il faut à Bernard Yerlès des personnages « complexes, ambigus ». « Quand c'est trop lisse, que tout a été fait pour que ça marche, cela ne m'intéresse pas. » On l'a pourtant vu récemment au cinéma dans « Au secours, j'ai 30 ans ! », dont le scénario ne brillait pas par sa finesse. Espérons que son prochain long-métrage, « 35-40 », répondra davantage à ses critères. Dans cette comédie sur des couples trentenaires, il donnera la réplique à Anne Parillaud, Mathilde Seigner et Judith Godrèche. Drôle de coïncidence : il y retrouvera Thierry Neuvic, l'autre figure masculine (Robin le policier) du « Miroir de l'eau ».

Thierry Dague
Le Parisien , lundi 16 août 2004

France 2/ Les éclats du «Miroir de l'eau»
Le premier épisode de la saga estivale a attiré 8 millions de curieux

8 millions de téléspectateurs et près de 40% de parts d'audience (PDA) : le premier épisode de la saga estivale de France 2, «Le Miroir de l'eau», a rassemblé un très large public. A titre de comparaison, «Un été de canicule», diffusé la saison dernière, n'avait drainé «que» 5,8 millions de fidèles et réalisé 33,5% de PDA lors de son lancement. «Nous ne nous attendions à recueillir un bon résultat, mais pas un score d'une telle ampleur ! En ce sens, c'est une surprise pour nous. Mais nous avions aussi la certitude de proposer une série populaire avec un superbe casting autour de Line Renaud et Cristiana Reali», souligne-t-on à France 2.
Au stand des «cartons d'audience», «Le Miroir de l'eau» touche toutefois un public moins important que la série de l'été de TF 1, «Zodiaque», qui avait attiré 11 millions de téléspectateurs en juillet. A la décharge de France 2, la concurrence était particulièrement rude lundi dernier. Sa saga estivale n'affrontait-elle pas «Navarro» (seulement 22% de PDA pour Roger Hanin ce soir-là) et deux grands classiques du cinéma, La Traversée de Paris et Le Bon, la Brute et le Truand ?
Reste aujourd'hui à consolider cette tendance face à un autre épisode de «Navarro» et la retransmission des épreuves des Jeux olympiques d'Athènes sur France 3. Une nouvelle compétition que les responsables de la chaîne publique abordent avec une certaine sérénité. Car l'obstacle le plus redoutable semble avoir été franchi la semaine dernière. «Les statistiques démontrent que les téléspectateurs sont restés devant leur poste tout au long du premier épisode, ce qui est évidemment très bon signe pour la suite», indique-t-on au siège de France 2, où l'on se félicite d'avoir pris certains risques pour séduire le public. Comme celui d'avoir versé une belle rasade d'éléments surnaturels dans le cocktail traditionnel des feuilletons de l'été.
«Il faut surprendre le public, mais en douceur, déclare la productrice, Sophie Revil. Oui, nous avons renouvelé le genre de la saga de l'été, mais nous avons également conservé des schémas classiques (histoires d'amour, secrets de famille...). Mais, chose rare dans ce type de feuilleton, on ne trouve pas ici de «méchants» mais des personnages toujours prêts à basculer. Ceux du «Miroir de l'eau» – et notamment les femmes – sont même très humains et très touchants avec leurs nombreuses failles.»
Mais comment expliquer, plus généralement, l'intérêt de plus en plus fort du public pour ces héros ballottés par des vagues successives de détresse et de bonheur ? «Les grands feuilletons romanesques, comme «Le Miroir de l'eau», permettent aux téléspectateurs de s'éloigner d'une réalité devenue trop dure et d'oublier leurs angoisses existentielles», conclut la productrice.

Pierre de Boishue LE FIGARO [16 août 2004]

« Le Miroir de l'eau » : tout pour plaire

Episode 2, France 2, 20 h 55. Mêlant savamment intrigue policière, ambiance fantastique, règlements de comptes familiaux et romances amoureuses, ce deuxième épisode avait tout pour satisfaire les accros du genre. L'intrigue ? Le meurtre de la jeune Anaïs Marange a fait deux suspects : le confident sourd-muet de Suzanne Castella (Jean-Marie Juan), puis le mari de sa fille Gabrielle (Jean-Claude Adelin), qui a embrassé la jeune fille la nuit de sa mort.

Le fantastique ? La petite Alice dialogue toujours avec le fantôme d'Isaure, morte il y a vingt-huit ans au même endroit qu'Anaïs, et se balade avec celui de son chat ! On a frissonné lorsqu'elle a annoncé à propos de la disparue : « Elle va revenir. » Les histoires de famille ? Gabrielle a découvert que son mari la trompait et l'institutrice Anna (Gaela Le Devehat) cherche à savoir qui est sa vraie mère, ce que son futur mari ne comprend pas. Les histoires de coeur ? Gabrielle est tombée dans les bras de l'ancien amour de sa soeur, Antoine Marange (Bernard Yerlès), alors que sa fille Elena apprenait qu'elle était enceinte du jeune Yann, et que Suzanne (Line Renaud) se montrait très proche de son adjoint sourd-muet. La pétulante Josépha (Clémentine Célarié), elle, semble toujours amoureuse d'Antoine... Tous ont un lien avec la mort des deux jeunes filles, à vingt-huit ans d'intervalle, mais lequel ?

T.D.  Le Parisien , mardi 17 août 2004

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