LES NUITS DU CHATEAU 2008

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Le conte musical des frères Grimm, ouvre la semaine nocturne
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Ciné-concert : Nosferatu , par le Philharmonique de la Rocquette
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Monsieur et Madame passent la soirée au château
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"Le Schpountz", bat le record de fréquentation

" Programme complet des nuits du château 2009"

 

Spectacles proposés par le service culturel de la Ville de Trets

=> Ajout d'un sondage en page d'accueil sur la programmation de ces nuits pour connaitre
votre avis et ainsi analyser cette faible fréquentation

=> Donnez votre avis sur sur la programmation et les spectacles
dans le forum du site

 

Les années se suivent et hélas ne se ressemblent pas concernant la fréquentation des Nuits du château, la plus grande manifestation culturelle de la saison chaque année sur Trets. Après avoir explosé les records d'affluence l'an passé, cette édition 2009 a hélas battu un record de la plus faible affluence en ne rassemblant ainsi que 800 spectateurs sur 6 spectacles soit une énorme baisse de 70% sur un an, puisque la saison 2008 avait réuni 2600 spectateurs sur 7 spectacles.

Un bilan décevant donc en terme de fréquentation et qui est assez inexpliqué car la programmation elle ne s'est jamais démentie depuis la création du festival et était assez semblable sur les genres aux années passées en étant toujours de très bonne qualité. Organisée par le service culturel de la commune, la programmation proposée fut très variée cette année encore avec de la danse, un ciné concert, du théâtre, ou encore des concerts. Le spectacle qui fut le plus suivi a été sans surprise la pièce de théâtre provençale à l'inverse celui qui a eu le moins de succès et c'est étonnant, fut la représentation gratuite du ciné concert. La fréquentation moyenne elle était de 133 spectateurs par spectacle contre 335 l'an passé mais le public présent était ravi à chaque fois d'être venu.

  

Pour tenter d'expliquer cela, l'élu à la culture et au patrimoine Georges Pansier a eu la gentillesse d'accorder un long entretien au site, pour faire avec lui le bilan de ces Nuits du château, connaitre ce qui l'avait poussé à sélectionner ces spectacles, mais également d'évoquer la saison passée et le futur; une interview à découvrir à travers divers articles sur le site.

"J'ai voulu faire une proposition très culturelle cette année, sur laquelle nous avons fait une énorme réflexion. La qualité était je crois au rendez vous cette année" expliquant alors ses choix de programmation en les développant en détails : "Le premier spectacle de la " La mort marraine " était un conte intéressant avec une histoire optimiste, un spectacle de qualité avec une belle mise en scène mais aussi une réussite sur le plan musical, où à la sortie on en ressortait différent", mais il s'interroge cependant sur les raisons de la faible fréquentation de cette représentation, pensant alors au titre "la mort" qui a peut être pu rebuter le public ou aussi sur la possibilité que le public ait pu penser que c'était en fait un spectacle pour enfants.
Le second spectacle de Joe Corbeau, qui était consacré au rock reggae, "avec ses textes intéressants, amenant à une réflexion profonde sur la vie actuelle, je m'étais dit que cela permettrait de toucher un public qui ne venait pas d'habitude aux spectacles , en particulier celui du centre ville, un public porté sur la culture méditerranéenne, on ne l'a hélas pas eu, mais peut être que les gens ont pu profiter du son avec le vent".

Pour le ciné concert, "on s'est surtout penché sur l'histoire du cinéma et des effets spéciaux, j'ai pris ce film pour présenter au public la façon dont on traitait à l'époque la dramaturgie d'une scène ! Un film caractéristique d'une époque et qui est culte : Dracula. Il y a peut être eu au final un coté trop élitiste, mais j'ai l'impression que le public va plus vers des sujets qu'il connait, plutôt que d'aller vers l'inconnu" analyse t'il. "Le spectacle de danse théâtrale "Monsieur Madame", c'est pareil on est allé rechercher quelque chose mêlant le théâtre et la danse, de manière à ce que le public qui n'aime pas un des deux styles; puisse s'y retrouver, avec toute une histoire en fil conducteur. A l'inverse, Le Schpountz lui est un genre qui plait vraiment, on est dans le provençal et le public a cette fois été au rendez vous."

 

Pour la fréquentation maintenant; son bilan est mitigé, "Pour moi il y a eu un regret qu'il y n'ait pas eu autant de monde qu'on l'espérait, mais je ne parlerais pas de déception; quand j'ai vu l'enthousiasme des gens qui étaient là, leur satisfaction, quand ils étaient fascinés par ce qu'il venait de vivre notamment pour "La Mort Marraine". Je n'ai eu aucune critique négative par rapport aux spectacles, au contraire je n'ai eu que des éloges par rapport aux spectacles en général, le retour public pour moi était donc satisfaisant. Ca n'empêche, bien entendu,  que j'aurais préféré plus de monde. C'est très difficile d'expliquer le fait qu'il y ait eu moins de spectateurs, mais d'une façon générale les différents festivals dans la région ont connu une baisse, pourquoi on ne sait pas !"

Une des raisons qu'il mettra en évidence cependant est le manque de communication sur ces Nuits du château, il n'y a en effet eu que très peu de publicité au niveau régional, dans les revues spécialisées ou dans le quotidien La Provence par exemple, ce qui était le cas par le passé.
Sur la commune également la publicité était un peu moins importante, dans le centre ville notamment : "Nous avons une clientèle qui n'est pas spécifiquement tretsoise , qui venait beaucoup de l'extérieur", ajoutant aussi que le Festival de Jazz qui a été annulé cette année a énormément manqué dans le domaine de la comm., "car il attirait des gens de toute la région, c'était l'ouverture de la saison estivale à Trets, ils voyaient alors les affiches et l'on faisait des annonces orales. A ce moment là, cela créait un effet d'entrainement alors" La deuxième raison qu'il mettra en évidence, est l'affichage sauvage sur les panneaux dans Trets "qui camoufle nos affiches en centre ville". Pour l'avenir il a alors de nombreuses nouvelles pistes pour promotionner ce festival avec d'autres supports médiatiques "comme le système de radio, trouver des médias qui nous permettent à moindre cout une publication plus importante".

Concernant le financement de ce festival, cela n'aura par contre aucune conséquence pour l'avenir précise t'il : "Cette faible fréquentation n'aura aucune incidence, ni sur les subventions futures car nous sommes financés par le Pays d'Aix ou le Conseil général, dans lequel nous puisons notamment nos spectacles". Sur le nombre de spectacles gratuits qui ont été plus faible cette saison, cela fonctionne par roulement explique t'il : "l'an dernier nous avons eu des spectacles gratuits à condition que cette année ils soient payants".

Concernant la prochaine saison des Nuits du château enfin : "Il est certain, que cela m'amène donc à une réflexion pour le futur, avec pour 2010 une réflexion qui se portera peut être sur quelque chose de plus enjoué, joyeux, tout en restant dans une proposition culturelle car nous sommes un service culture, surtout pour l'été, quelque chose où il faut moins se creuser les méninges; surtout dans l'époque actuelle où il y a beaucoup d'angoisses pour la population, qui a donc besoin de se changer les idées." A SUIVRE...

Rendez vous le 17 aout pour le dernier spectacle puis l'an prochain pour de nouveaux spectacles en plein air ou alors chaque 3e vendredi du mois dès septembre avec une programmation là encore variée. En attendant revivez tous ces spectacles à travers des dizaines de photos et 1h15 de vidéos !!!

"Le Schpountz", bat le record de fréquentation de la saison









C'était hélas la dernière soirée de cette semaine culturelle des Nuits du château 2009. Le temps était de la partie cette fois et le public aussi, puisque la cour retrouvait enfin une allure à peu près normale avec une affluence record pour cette saison; lors de la soirée théâtrale du Mercredi 22 Juillet à 21h.

280 personnes sont ainsi venues assister à la représentation de la célèbre pièce de Marcel Pagnol : "Le Schpountz",  qui était donnée par la Compagnie César Choisi, mais cette année la pièce théâtrale du festival a perdu un tiers de son public par rapport aux deux dernières éditions, mais il faut préciser cependant que les deux précédentes étaient gratuites.

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Extraits des meilleurs moments de la pièce, à visionner, durée 20min

Le public qui était présent n'a en tout cas pas regretté sa soirée et a énormément ri en assistant aux trois heures de spectacle, une fois encore d'une belle qualité qui s'est achevé vers 00h15 (un entracte de 25 minutes avait eu lieu à 22h30).

A noter que c'était une exclusivité de la compagnie puisque cette pièce n'avait jamais été adaptée au théâtre, elle l'a ainsi été par Nicolas DROMARD et mise en scène par Vivette Choisi-Roman. Chose rare le public a également pu voir deux changements de décor en direct en plein acte pour passer du décor provençal de l'épicerie au décor parisien des studios de cinéma.

12 comédiens ont ainsi brillamment revisité l'œuvre de Pagnol qui pour rappel conte l'histoire qui démarre dans une petite épicerie de village, en Provence. Baptiste Fabre y fait travailler ses neveux, Irénée et Casimir. Casimir s'applique, Irénée de son coté est persuadé que Dieu lui a donné un don d'acteur, dénigre le métier et attend sa chance.

C'est alors qu'une équipe parisienne est de passage près de chez lui pour tourner les extérieurs d’un film et trouve alors en Irénée le "Schpountz" idéal : un naïf aux ambitions cinématographiques démesurées, à qui elle peut jouer un bon tour. L'équipe se moque alors de lui en lui faisant signer un faux contrat mirifique. Persuadé d'être à l'aube d'une grande carrière, Irénée gagne Paris et se présente à la porte des studios, tout tourne mal sur place mais la chance va tourner et le succès qu'il attendait tant finira par arriver mais pas dans le domaine qu'il espérait. Lui qui souhaitait devenir acteur d'émotion va devenir un grand acteur comique…




Monsieur et Madame passent la soirée au château

Après un jour de relache, les Nuits du château ont repris ce Lundi 20 Juillet à 21h55, avec le 4e spectacle de cette édition, par un temps parfait cette fois, qui a réuni heureusement bien plus de monde que les précédents mais à un niveau de fréquentation toujours bien faible, il n'y avait en effet que 110 personnes environ pour assister à la représentation payante de : "Monsieur Madame".

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Extraits de 13.36min du spectacle à visionner
Ce spectacle qui était tout public, et qui avait également pour cible les enfants était comme son nom l'indique l'adaptation des célèbres petits livres pour enfants, que les jeunes connaissent bien et dont les personnages ont été conçus Roger Hargreaves. 
 

Cette adaptation mêlant un concept original, composé de danse et théatre, était présentée par le Studio du Soleil et a offert il faut bien le dire un très beau et bon moment, mais trop court une fois encore puisqu'il n'a duré qu'une petite heure. C'est avec de superbes jeux de lumières que le public a pu assister au déroulement de cette histoire farfelue réunissant six personnages (très fidèles aux livres) : Mme Lent, Mlle Timide, Monsieur Maladroit, Mme Boute-en-train avec les deux principaux : Mr Tatillon et Mr Pressé; qui ont beaucoup fait rire l'assistance en particulier les enfants.

L’histoire adaptée par Alexandre Ferran et chorégraphiée par Elisabeth Ciccoli racontait en gros les aventures amoureuses de Mr Pressé avec Mlle Lent et commençait ainsi : "Monsieur Tatillon est parti pour affaires. Monsieur Maladroit arrive des Amériques. Il compte passer quelques jours chez son cousin... monsieur Tatillon. Mais il n’y a personne…  Enfin, personne... si, il y a Olga et Richard, les poissons rouges de Monsieur Tatillon.  Voilà comment commence pour les habitants de Lciville, ce qui va être le plus grand chamboulement de toute leur vie…"


 

Ciné-concert : Nosferatu , par le Philharmonique de la Rocquette

Mais qu'arrive t'il aux Nuits du château pour qu'elle soit tant désertée cette année ? C'est la triste question à laquelle on peut se poser à mi parcours de la semaine de ce festival culturel, puisque sa fréquentation est plus de 4 fois inférieur à celle de l'an passé, avec un score global qui n'atteint même pas le remplissage d'un seul spectacle de l'an passé... Un score très décevant et même démoralisant; pourtant sa programmation y est toujours de grande qualité et n'a pas subi de grandes modifications dans ses thèmes cette saison, tout comme ses dates de programmation... (N'hésitez pas à donner votre avis dans le forum).

Le 3ème spectacle de ce Samedi 18 Juillet a ainsi encore réalisé une fréquentation plus basse que les précédents, alors qu'il était gratuit (le seul spectacle à entrée libre de la semaine), il n'y avait en effet que 47 personnes dans la cour, mais il faut reconnaitre que les conditions climatiques étaient toujours épouvantables avec un vent frais.

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Extraits de 6min du ciné-concert à visionner
Ce ciné concert donné par le Philharmonique de la Rocquette, à 22h05 concernait aussi peut être un public un peu plus resserré que les autres projections par le passé, puisqu'il ne s'agissait pas de grands classiques du rire, comme en 2007 par ex, mais un vieux film avec une histoire de vampire : " Nosferatu "... Un genre réservé aux spécialistes donc dont certains peu amateurs du film ont d'ailleurs rebroussé chemin en pleine projection !

Ce film muet de 1922 de F. W. Murnau était la première adaptation cinématographique du livre Dracula de Bram Stoker (1897). Sa musique était alors jouée en live comme le veut le principe du ciné concert, par une formation de 4 musiciens (claviers, programmation /  bandes son de bruitage, son / contrebasse, basse, voix / batterie, programmation, scie musicale).
Une musique inédite et improvisée sans partitions, a précisé une des membres du quatuor du Philharmonique de la Rocquette, eux qui connaissaient très bien le film ont ils dit, la musique assez sombre en général, collait en tout cas parfaitement aux différentes actions de ce film d'une heure pile.

L'histoire du film : À Wismar en 1838, Thomas Hutter, un jeune clerc d'agent immobilier doit partir en Transylvanie afin de vendre une propriété au Comte Orlok qui désire avoir une résidence dans la ville. Après un périple sur une terre d'ombres, le jeune homme est accueilli au sein d'un sinistre château par le comte...



 

Jo Corbeau, envole son reggae dans la cité

Décidément on peut dire que cette édition 2009 commence mal. En effet après avoir réuni peu de monde pour la première soirée, la seconde ce Vendredi 17 Juillet a fait pire pour le concert de "Jo Corbeau". Il faut dire que les conditions climatiques  n'incitaient pas à sortir vu le violent mistral et le froid qu'il y avait en cette soirée...

C'est donc qu'une petite cinquantaine de personnes qui sont venues assister à ce concert payant, mais en réalité la quasi totalité des tretsois a pu en profiter puisque le vent emportait avec lui la musique du concert jusque dans les hauteurs de la ville, à l'est du château. Le public devait regretter de ne pas être venu au final; puisque ce fut un concert de grande qualité, très apprécié des courageux mélomanes qui ont d'ailleurs pas mal dansé et bougé pour se réchauffer durant ces 1h35 de show, donné par Jo Corbeau. Artiste qui signe ses chansons de son réel patronyme : Georges Ohannessian.

Accompagné de musiciens fort doués, appartenant au collectif de musiciens l'A.D.N (Amicale Dub Naturelle) avec un clavier, une basse, une batterie, 2 guitares et deux saxophones Jo a donné un concert très rythmé de chansons aux sonorités reggae avec un répertoire de titres allant de "Fleuve Marley" "Panique internationale" à des titres de son nouvel album qui est prévu pour septembre 2009.

Jo Corbeau débute dans les années 1970 au sein du groupe rock Albert et sa fanfare, puis d'Elvis Platiné. Il descend à Marseille au début des années 1980, après avoir découvert le reggae qu'il adapte à la cité phocéenne. Ainsi naît le raggaïolli, mélange réjouissant de reggae et de folklore occitan. Roi de la tchatche, il interprète Savon de Marseille, lors de fêtes raï, n'hésite pas à chanter en arménien, ou à intégrer des chansons corses à son répertoire. Il perpétue ainsi une tradition de chansons marseillaises populaires, qui se nourrit de toutes les composantes ethniques de la ville.

Extraits de 14min du concert à visionner
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Le conte musical des frères Grimm, ouvre la semaine nocturne

C'était le premier grand spectacle des Nuits du château, qui ouvrait cette grande semaine annuelle culturelle ce Jeudi 16 Juillet 2009 à 22h. Le public a eu droit à un joli conte musical  : " La mort marraine " présenté par un groupe qui s'est souvent produit au château :  l'Ensemble Télémaque.

Mais hélas le public n'est pas venu très nombreux à cette représentation payante, puisqu'il n'y avait que 70 personnes pour un spectacle qui a par contre battu un record de courte durée dans l'histoire de ce festival : 40min à peine...  Ce conte ''La mort marraine'' des frères Grimm, était écrit, mis en musique et dirigé par Raoul Lay, accompagné de ses 6 musiciens (clarinette, trompette, percussions, accordéon, violon et contrebasse) jouant au fil de cette histoire racontée par la comédienne : Julie Cordier. Le décor était lui constitué de nombreux beaux jeux de lumières avec un petit écran vertical, tandis que la comédienne évoluée avec deux boules lumineuses. La musique avait un rôle prépondérant puisque chaque instrument était lui même un personnage : Le jeune homme était incarné par le violon, la Mort par la clarinette, le Roi par la trompette etc... En parallèle une belle exposition photo avait lieu sur les murs du château avec des photographies de ce spectacle...

L'histoire : Un père pauvre et démuni cherche un parrain pour son treizième enfant. La Mort lui semble la plus juste des créatures, car elle traite tout le monde de la même manière. Les années passent, le jeune enfant est devenu un brillant médecin.
Et la Mort l’aide, en paraissant – invisible à tous sauf à lui – au chevet des malades. Si elle se trouve au pied du lit c’est la guérison. Si elle se place à la tête, c’est la fin. Le jeune homme essaiera-t-il, par amour ou par orgueil, de tromper sa marraine ?

Visionnez des maintenant 9min d'extraits du spectacle en vidéo ci dessous

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Le Nouveau Monde, redécouvert par l'Orchestre philarmonique du Pays d'Aix

Pour ce second spectacle de l'année, c'est l'orchestre philarmonique du Pays d'Aix qui a donné comme chaque année, un concert d'une heure 10, ce samedi 27 Juin 2009 à 20h10 baptisé : "De l'Amérique à l'Orient".

Le public est venu lui nombreux comme chaque fois mais beaucoup moins que par le passé, ils étaient en effet 240 environ à venir passer un bon moment de musique, contre plus de 350 les années précédentes.

Il y a eu du changement par ailleurs au sein même de cet orchestre de 53 musiciens puisque JP Borne qui le dirigeait depuis longtemps a du laisser sa place à Jacques Chalmeau . Après avoir célébré la nature en 2008, c'est le Nouveau Monde qui était le thème de cette année avec la Symphonie n°9 du "Nouveau Monde" de Dvorák, qui pour la petite histoire est allée sur la Lune il y a tout juste trente ans, grâce à Neil Armstrong qui en avait emporté un enregistrement lors de son voyage avec la mission Apollo 11.
Les 53 musiciens interpréteront aussi "Norma" de Bellini et des œuvres de Rimski-Korsakov comme  "Schéhérazade" (extrait) et "Le vol du Bourdon". Un beau concert qui a été fort applaudi et apprécié du public par sa qualité une fois de plus.

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LES AUTRES SPECTACLES DE L'ETE 2009 A TRETS

Photos : N. Dobranowski


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