Trets : Un tretsois raconte l'enfer du bagne de la Légion à Corte
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  • Le Journal tretsois
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Le quotidien CORSE MATIN a consacré dans son supplément "Settimana", du vendredi 09 octobre tout un dossier sur un tretsois, qui a été le personnage central d'un livre portant sur le bagne de la Légion à Corte. Voici ce grand article publié sur le site du quotidien :

Révélations sur le bagne de la Légion à Corte
Héros du livre qui fit scandale, en 1977, sur le bagne de la Légion à Corte, Michel Trouvain n’est pas un personnage de fiction. Près d’Aix-en-Provence, à Trets, où l’ancien disciplinaire de la section d’épreuve vit, à 64 ans, l’existence d’un retraité pas comme les autres. Retour sur l’itinéraire d’un enfant gâché.
La banalité de la scène en est presque décevante aux yeux de qui se passionne depuis toujours pour l’histoire.
Trets, la rue d’un petit centre-ville résidentiel qui peine à exister au coeur du vaste espace industriel de la commune provençale.

L’homme est descendu pour éviter au visiteur de frapper à la mauvaise porte. L’embonpoint du sexagénaire, le cheveux ras, le sourire à la fois timide et gêné de celui qui sait que la visite en question n’est pas due à la seule courtoisie. Michel Trouvain est bien là, tel le monsieur tout le monde, et pourtant...

Il a nourri la légende de la face la plus sombre du plus prestigieux corps militaire français : la Légion étrangère. « Mon bouquin », ainsi parle-t-il de l’ouvrage écrit il y a 38 ans par le journaliste Henry Allainmat. Il en est le personnage central. D’aucuns doutaient même de son existence, persuadés que l’auteur de L’épreuve avait façonné de toutes pièces le profil de l’individu qui devait donner du relief à un récit et forger la crédibilité d’une histoire.

Michel Trouvain, - Marcel Terrier pour la Légion étrangère - nous l’avons retrouvé sans même le chercher, nous ne l’avons plus lâché une fois la première trace identifiée. Mais cette traque-là le réjouit, lui qui a passé près de quarante ans dans une folle cavale. Pour fuir la justice et l’injustice. Pour contrôler son âme de rebelle et de révolté contre le système. Pour échapper à ses propres démons. Curieusement, tout avait commencé quelques mois auparavant... là où Michel Trouvain crut autrefois qu’il ne reverrait plus le monde des vivants.


Le domaine Saint-Jean, à Corte, est devenu un espace de sport, de loisirs et de détente. A deux pas des baraquements militaires rouillés, dernier vestiges de feu le bagne de la Légion, un homme s’approche des promeneurs. Il vient de loin, il veut savoir où est l’ancien camp dont il est question dans L’épreuve. Un autre homme, bien du coin, le renseigne en pointant l’index. La conversation s’engage. Le visiteur avoue être un ami du frère de Michel Trouvain.

Son interlocuteur se fige, l’histoire le fascine depuis très longtemps, il demande au visiteur d’établir le contact avec le frère de l’ancien disciplinaire. Quelques jours plus tard, il reçoit le coup de fil inespéré : « Bonjour, Michel Trouvain à l’appareil ».

La rencontre aura lieu, elle remontera jusqu’à nous. Pour un nouveau contact téléphonique. La voix de l’homme est posée, loin du timbre hésitant que nous aurions pu attendre d’un homme qui a enduré la torture. Mais le phrasé et l’argot du légionnaire jaillissent de temps à autre. « Vous savez, depuis le début de cette histoire, il y a des gens qui se sont gavés. Moi, je n’ai jamais pris une tune » !

Michel Trouvain n’a pas pour autant l’intention de monnayer son témoignage. Mais il est bien décidé, quatre décennies après y avoir souffert, à nous parler de « ce foutu camp ».

Retour à Trets, dans le deux pièces que le locataire espère provisoire, tout comme le montant d’une retraite plutôt famélique : 476 euros. « Je fais des pieds et des mains pour essayer d’avoir davantage, de faire valoir les trimestres que la Légion ne m’a jamais versés ».

Dans la journée, ses entretiens téléphoniques avec diverses administrations nous donneront une idée de son quotidien, pour le moins compliqué. Michel ne s’apitoie pas pour autant sur son sort... Il a connu pire. Il fume cigarette sur cigarette, « mon divorce, il y a quelques mois, m’y a conduit ».

Son visage laisse transparaître de petites cicatrices, amers souvenirs des temps les plus durs, mais un regard résiste et transperce. Celui du légionnaire qui ne courbe pas l’échine, ouvre de grands yeux et encaisse les coups. Il n’a pas rejoint La légion par vocation. « Je n’ai jamais été un militaire dans l’âme ». Le destin l’y a conduit.


"Mon père était violent, sadique et pédophile"
Le destin cruel d’un enfant plongé très tôt dans les affres d’une société à deux vitesses. Pour dire les choses, Michel parle vrai, sans jamais tourner autour du pot : « Mon père était violent, sadique et pédophile. C’était un salaud. La dernière fois que je l’ai vu, c’était pour le décoller du sol en le prenant par le cou, lui dire qu’il ne me reverrait plus, et que je ne viendrai pas à son enterrement ».

L’improbable univers familial fut d’abord celui d’une ferme vosgienne, à Cornimont, que les Trouvain quittent au coeur des années cinquante. La faute à l’invasion des sauterelles, à une tempête de sable et à un incendie volontaire qui touche l’exploitation familiale. Pontault-Combault en Seine-et-Marne, n’est pas vraiment la destination du bonheur.

Dès l’âge de 4 ans, Michel connaît les foyers d’accueil « où on nous donnait des claques et des douches froides », l’école « où je ne branlais rien », le monde du travail à 14 ans « comme livreur de vin. Le patron me faisait porter des caisses de 25 kg par -15° ». Il n’a qu’une envie qui ne le quittera jamais tout au long de son existence : « Tailler la route ». Tels sont aujourd’hui encore les mots qui expriment l’instinct de celui qui veut se tirer d’un mauvais pas.


‘‘Ce mec balafré, ça n’est pas moi’’
Un emploi des plus précaires dans une fabrique de porte-clés ne lui donnera pas non plus la lueur d’espoir espérée. Pour raconter la suite, Michel opte pour l’humour, même s’il s’agit d’évoquer sa plongée dans la délinquance. « Avec un pote de classe, on avait créé une « société anonyme ». On cambriolait les belles baraques des gens friqués. On avait 15 ans, on revendait tout aux puces sans avoir la moindre idée de la valeur de l’argent. »

Jouer avec le feu lui vaut ses premiers mois de taule mais le jeune voyou remet ça, enfile la cagoule, joue du canon scié, apprivoise le 7.65, n’hésite pas à coller son flingue sous le nez de ceux qui se dressent sur son chemin. Michel brûle déjà sa jeune existence entre les courtes peines et les récidives immédiates. Entre temps, ce qui ressemble à une bonne résolution le conduit à passer un diplôme de paysagiste.

« J’ai commencé à travailler pour une entreprise, mais je me suis fait le coffre-fort pour prendre la recette . Je ne faisais pas ça par vice. Je pensais que ça allait me sortir de la merde, mais je n’ai jamais rien mis de côté. » Quand la spirale s’accélère, Michel pense saisir la bonne perche pour s’en extraire.

Nous sommes en 1970, face à un gendarme qui l’interroge en lui promettant cette fois une addition plus lourde, son regard s’attarde sur une affiche au mur : « Engagez-vous dans la Légion ».

En racontant son histoire dans le confort sommaire de son deux pièces, le héros de L’épreuve épluche en même temps les documents qu’il a précieusement conservés. Son livret militaire, le manuscrit d’Henri Allainmat tapé à la machine, les photos des chaînes de la section d’épreuve qui lui cisaillaient les chevilles, d’innombrables coupures de presse sur le bagne de la Légion.

Lui, à l’exception de son intervention dans le reportage d’une télé américaine juste après la parution de l’ouvrage, n’a jamais fait l’objet du moindre article. Jusqu’à aujourd’hui...

Il s’empare de la dernière édition de L’épreuve, celle de la Manufacture du Livre et peste contre la couverture. « Ce mec balafré, ça n’est pas moi, mais c’est ce que croient sûrement les gens qui ont acheté le livre. C’est quand même dégueulasse ». Il sort de sa collection une vraie photo du légionnaire qu’il fût. « 1,67m, 61 kg... et regarde les avantbras que j’avais. »


A Corte au milieu de mafieux, de déserteurs et de mercenaires
Mais en ce jour de l’année 1970, celui qui s’apprête à prendre le nom de Marcel Terrier, avec en prime la nationalité suisse, conserve encore ses illusions sur cette Légion, qu’il voit comme la porte de sortie la plus honorable d’une vie qui le conduit droit dans le mur. « On était deux, mon pote Philippe et moi. On a signé le lendemain. »

Escale express à Aubagne, et direction Corte pour six mois de classe à la caserne Grossetti. « Déjà le parfum de la section d’épreuve, même si je ne la connaissais pas encore. » Michel est brutalement confronté à l’impitoyable formation du légionnaire. Il se découvre aussi une grosse résistance physique et se rend compte qu’il apprend vite... au coeur d’un monde cosmopolite et trouble, au contact d’individus au passé parfois sulfureux. « Il y avait des Napolitains, des Calabrais... des mafieux. Ceux qui avaient déserté des Marines aux Etats-Unis, ou encore d’anciens mercenaires ».

Après les classes, c’est le temps des voyages, là où la Légion trace sa route : les Comores, le Tchad... Et Djibouti. Michel n’a rien oublié. Depuis l’ouest africain, l’ouverture sur la Mer Rouge, vers le Canal de Suez. Et les premières désillusions. « C’est là que j’ai touché du doigt ce que la Légion était capable de faire, les exactions qu’elle pouvait commettre sur les populations. »

Sur cette Légion étrangère que l’opinion publique porte au pinacle, il fait la moue, loin de l’esprit « patria nostra » véhiculé par les anciens, y compris ceux qui ont connu la section d’épreuve de Corte. « Le corps d’élite des combattants, d’accord, mais il ne faut pas oublier qu’il a toujours été en grande partie composé de gens incapables de retrouver une vie normale dans le civil. »



Il insiste sur ce côté sombre, ces tâches sur le blason rouge et vert. A Djibouti, il affi rme en avoir vu suffisamment pour en rester là. « Tailler la route », encore, sauf que cette fois, ça s’appelle déserter. Et Michel ne veut pas s’en contenter. « J’avais fait des tas de photos, assez pour dénoncer ce qui se passait ». Il tente de gagner le sud du Yémen, espère arriver à San Marino pour demander l’asile politique sur une terre où on ouvre les portes aux repris de justice. Mais le légionnaire Marcel Terrier est pris dans les filets d’une Légion qui ne fait pas de cadeaux.

La tentative de divulgation de photos compromettantes lui vaut trois mois de section d’épreuve (lire par ailleurs). Sa manie tenace de « tailler la route » lui en rapportera neuf. Il en sera marqué à vie. Tout est dans L’épreuve, ouvrage à la lecture duquel il renvoie. Retourné du côté d’Orange à la vie du légionnaire lambda, Michel disjoncte plus facilement qu’auparavant. « Un caporal-chef qui me harcelait en sait quelque chose. Je pense qu’il savait que je venais de la section d’épreuve ».

L’autorité médicale le classe parmi les psychologiquement instables lorsqu’il est hospitalisé à Laveyran. Aujourd’hui encore, l’intéressé affirme qu’il savait jouer la comédie. « J’étais parfaitement maître de mon cerveau. Je savais y ouvrir tous les tiroirs qu’il fallait en fonction des circonstances. »

Réformé le 3 février 1974 à Paris, Marcel Terrier n’ira pas au bout de son contrat. « Regardez-moi bien, j’ai une tête à faire cinq ans dans la Légion, moi ? » Le retour à la vie civile ne signifiera pas pour autant la fin de la galère.



Un livre suivi d’un exil en Sicile

La dépression longtemps simulée est désormais bien réelle. « Je ne pouvais plus saquer un uniforme. Même pas celui du poinçonneur de métro. Le moindre petit incident, je rentrais dedans. » Michel multiplie les hospitalisations, passe son temps sous l’effet des sédatifs, garde un penchant pour l’alcool en héritage de la Légion. C’est à ce moment-là, par l’intermédiaire de son frère, qu’il rencontre Henry Allainmat.

« Je voulais faire éclater la vérité ». Il donnera tout pour la sortie de ce livre, jusqu’à se procurer les preuves écrites que le tout premier éditeur exigeait en plus des photos prises aux abords de la section d’épreuve par Michel, l’auteur du livre et son frère (lire par ailleurs).

Marcel Terrier n’existe plus mais en 1977, lorsque L’épreuve sort en librairie, l’ancien légionnaire est obligé de fuir en Sicile. « La légion ne pouvait pas me pardonner ça ». La terre de sa plus longue cavale sera pourtant celle qui lui donnera le plus.


"Je ne pouvais plus saquer un uniforme. Même pas celui du poinçonneur de métro"
Après le temps de la débrouille, des petits boulots à la plonge, il renoue avec son métier de paysagiste, se remarie (un fils est né d’un premier mariage en France, il a une fille avec sa deuxième épouse), se prend de passion pour les fouilles archéologiques et s’intègre, lui qui ne parlait pas un mot d’Italien. Sous le coup d’un mandat d’arrêt international, il attend que les choses se tassent, mais son bail avec la Sicile durera vingt-et-un ans. « Mon frère connaissait quelqu’un de bien placé. Quand le moment de rentrer est venu, je l’ai su. »

La courroie de transmission sera l’opportunité professionnelle qu’il saisit : un emploi au sein d’une société de nettoyage industriel qui développait ses activités dans le sud de la France. Voilà comment Michel Trouvain s’est retrouvé à Trets. Il y vit encore aujourd’hui. On se dit alors que l’homme qui nous raconte sa vie y a bouclé paisiblement la boucle, très loin de ses tourments d’autrefois. Mais la poisse mêlée à ses propres faiblesses... Deux accidents de travail, des revenus mensuels amputés d’indemnités journalières l’ont conduit à contracter une succession de prêts à la consommation jusqu’à ce que les dettes le submergent.



Les circonstances le poussent à s’engager dans une curieuse affaire de reprise de société au Luxembourg. Michel y voit la possibilité de s’en sortir. Il se fourvoie encore. Cette fois, c’est une escroquerie bancaire.

« C’était le 26 décembre 2012, j’étais justement en rendezvous à la banque quand j’ai été arrêté. Je n’ai rien nié, conscient des risques, même si je n’ai été qu’un pion dans cette histoire. »

En liberté provisoire, il attend l’issue d’un complément d’enquête sans se faire trop de soucis : « Je pense que ça va se tasser, il y aurait trop de gens importants à mouiller là-dedans ». On le regarde, plus que jamais convaincu, quoi qu’on pense du personnage, que Michel Trouvain a bel et bien existé, au-delà de la section d’épreuve de Corte.


Lui, dans sa petite rue sans âme de Trets, n’aspire à présent qu’à améliorer sa condition de retraité, et à assumer son statut de personnage principal d’un livre qui suscite encore la controverse. Un livre que sa fille, Martina, 20 ans, n’a jamais voulu lire. Dans l’interview qu’il accorda à Corse-Matin en 2008, Henry Allainmat estimait malgré tout que « les disciplinaires qui avaient fait la section d’épreuve n’étaient pas des anges ».

Michel Trouvain encaisse, comme il l’a toujours fait : « Quand on naît là où je suis né et où j’ai grandi... » Il ne fera pas allusion aux derniers mots de L’épreuve, ceux d’un épilogue signé par l’auteur le 9 octobre 1976 : « Que personne ne juge Michel, que personne ne juge ce qu’il a fait, que personne ne juge ce qu’il fera. La légitime défense l’absoudra jusqu’à ce que sa mémoire s’éteigne ».

Marcel Terrier est-il mort et enterré ? En accueillant la question, l’ancien légionnaire ravale un sanglot. La journée a été longue, la confession éprouvante. Mais le matricule 148 910 ne laisse à personne le soin de faire le tri dans le livre de sa vie. Pas même pour arracher les pages les plus pénibles.

CORSE MATIN 9 OCTOBRE 2015


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