Toutes les petites informations, de la vie du Sport à Trets avec les résultats, les affiches, les évènements, pour être encore plus informé sur ce qu'il se passe à Trets et de manière plus rapide... Si vous avez des infos, des résultats, photos à communiquer, si vous êtes au courant de quelque chose qui se déroule ou va se dérouler à Trets, envoyez dès maintenant un mail ou poster un message sur le forum, l'info sera rapidement mise en ligne ici... Merci à vous !
Ce lundi 4 septembre 2017 avait lieu la grande rentrée scolaire pour les
1123 élèves de maternelle et élémentaire dans les sept écoles de Trets. Durant l'été comme chaque année la municipalité a effectué de nombreux travaux dans les établissements scolaires pour cette rentrée particulière puisqu'elle marque la fin des rythmes scolaires et TAP, ce qu'avaient voulu 74 % des familles en juin dernier lors d'un sondage, les enfants reviennent ainsi cette année à une semaine à 4 jours. Ainsi, les élèves de Trets ont classe le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 8h30 à 11h30 et de 13h30 à 16h30. Afin d’accueillir au mieux les enfants le mercredi, un troisième centre de loisirs a été créé . Les centres sont situés aux Colombes pour les 3-6 ans, Edmond Brun pour les 6-12 ans et St Jean pour les 3-12 ans.
Au même moment au collège, les élèves de 6ème ont aussi fait leur rentrée répartis en 4 classes avec un effectif moyen de 29 par classe.
Rires et bonne humeur étaient de mise pour l'ensemble des 658 élèves de classes élémentaires à l'occasion de cette rentrée qui s'est faite en musique à l'école Edmond Brun, et de façon plus traditionnelle dans les 6 autres écoles que compte la commune. Des effectifs en très légère hausse par rapport à l'an dernier.
Pour les jeunes enfants de maternelle c'était différent, quelques larmes. Et une inquiétude venant surtout des parents et des enseignants : les effectifs explosent avec 454 élèves sur un ensemble de 15 classes réparties sur trois écoles, soit une moyenne de 30.27 élèves par classe, dont 30.58 en petite section. Un effectif considéré comme "peu gérable", pour autant l'inspection académique alertée, ne s'est pas montrée inquiète, ni favorable à l'ouverture d'une classe supplémentaire. Une classe spécialisée ULIS (Unité localisée pour l'inclusion scolaire) sur Saint Jean voit un effectif stable de 15 élèves.
L'accent a été mis, comme promis l'an dernier, sur la sécurité. Ainsi des visiophones et portiers automatiques ont été installés dans tous les établissements, alors que la police municipale assurait comme chaque année, la sécurité devant les portails. Le passage à la semaine de 4 jours pour répondre à la demande de 70% des familles, a entraîné la création d'un troisième centre d'accueil et de loisirs de 116 places, pour les enfants âgés de 3 à 12 ans (le centre affiche complet).
Compte tenu du succès remporté sur les écoles primaires de Saint-Jean et Jean Moulin, deux selfs flambant neufs, assortis d'un tri des déchets, ont été installés à Edmond Brun et Victor Hugo. Un investissement de 46 685,24€ TTC.
Outre les travaux de mise en beauté, quelques réparations et réfection de clôtures, la poursuite de l'installation de brumisateurs a été faite pour les trois dernières cours d'écoles, qui n'en étaient pas encore équipées.
Mais la grande nouveauté viendra courant septembre par une première vague d'installation de 9 packs numériques comprenant chacun un tableau blanc interactif tactile ainsi qu'un vidéoprojecteur à ultra-courte focale, visant à améliorer le confort d'enseignement. Un vrai bond dans l'école du numérique, pour un coût de 29 616€ TTC.
Pour ce qui est du collège un effectif stable autour de 500 élèves, et une rentrée sans souci notable, mis à part quelques grognements dus au plan de circulation imposé en raison des travaux de réhabilitation de l'avenue Marius Jatteaux, rendant inaccessible l'accès au parking du collège, en voiture.
Isabelle Loll, Photos I LOLL, LA PROVENCE 5 septembre 2017
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A partir de la nouvelle saison sportive 2017/2018, la direction du
Judo club Tretsois , association créée en 1973, passera la main après plus de 40 ans pour la présidente MONIQUE GAUTIER, le professeur JEAN FORCINA et 30 ans pour la secrétaire VERONIQUE MICHELET et la trésorière ASTEGIANO MONIQUE.
Une nouvelle équipe va prendre en main la destinée de notre association sportive, le bureau directeur sera composé de :
KATYA VIDAL PRESIDENTE
NICOLAS VIDAL SECRETAIRE
LISA GUTIERREZ TRESORIERE
ADIL ELMANI PROFESSEUR
Tous résidents Trestsois.
L'ancienne équipe leur souhaite bonheur et réussite dans leur avenir.
Reprise des cours de judo le mercredi 6 septembre au DOJO STADE DE LA GARDI
Mercredi et vendredi : enfants de 4 ans à 9 ans 17h30 à 18h30
: Plus de 9ans 18h45 Ã 20h30
Photos d'archives
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L'état de catastrophe naturelle vient d'être officiellement reconnu pour la commune de Trets pour l'année
2016 concernant les Mouvements de terrain différentiels consécutifs à la sécheresse et à la réhydratation des sols du 1er avril 2016 au 31 décembre 2016.
Cette reconnaissance résulte de l'arrêté "NOR INTE1719708A" du 25 juillet 2017, publié au journal officiel du 1er septembre 2017 (texte 2 sur 106).
Selon le règlement, les administrés concernés ont dix jours suivant la publication de l'arrêté pour saisir leur compagnie d'assurance par lettre recommandé avec accusé de réception, afin d'engager la procédure d'indemnisation, soit
jusqu'au dimanche 10 septembre 2017 , en leur communicant l’arrêté que vous pouvez télécharger
en cliquant sur le lien ci-dessous .
La mairie indique que pour ceux qui ont effectué leur déclaration pour l’année 2015, M. le Maire a effectué un recours auprès du Tribunal Administratif de Marseille suite au refus de reconnaissance de catastrophe naturelle qui pénalise fortement nombre de Tretsois.
Pour toute question, vous pouvez joindre le service Urbanisme au 04.42.37.55.18.
Ouvert au public les :
lundis matins (8h/12h), mardi après-midis (13h30/17h30), les mercredis (8h/12h et 13h30/17h30), jeudis matins (8h/12h) et vendredis après-midis (13h30/16h30)
04.42.37.55.18.
urba02@ville-de-trets.fr
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En cette semaine de rentrée scolaire 2017 retournons 21ans en arrière pour revivre celle du collège les hauts de l'Arc en 1996 via ce grand article du journal LE PROVENCAL du 9 septembre 1996, où de nombreux jeunes adultes prendront plaisir à se reconnaître enfants....
Document : collection personnelle Guy Van Oost ************************************************
Festivités Aux alentours vidéo
Comme tous les ans depuis de nombreuses années maintenant, retour sur la fête annuelle de Puyloubier. Une fête toujours très sympathique dans ce beau petit village situé au pied de la Sainte Victoire qui a une ambiance particulière et conviviale qui en font son charme. Une fête qui se déroule toujours trois jours après celle de grande qualité de Rousset et qui a une belle réputation car celle ci reste généralement sur le même niveau qualitatif que sa voisine, avec des groupes souvent identiques la même année ou à quelques années d'intervalles. Hélas cette année chose rare, la fête a déçu par sa programmation et les spectacles proposés.
Des festivités qui se sont déroulées les
vendredi 1er, samedi 2 et dimanche 3 Septembre 2017 , et qui dit fête de Puyloubier dit hélas mauvais temps, en effet comme très régulièrement celle ci a du affronter les éléments météorologiques avec cette fois un fort mistral les trois soirs et des températures très fraiches dans les 15°C. Le feu d'artifice d'ouverture a du coup du être annulé. Mais à Puyloubier et chez les habitants de la vallée on aime faire la fête et ce n'est pas ça qui a découragé les gens de venir se divertir puisque l'affluence fut bonne, même si légèrement inférieure et pour se réchauffer les fêtards ont été nombreux à danser sur la piste de danse.
Le programme était donc bien décevant cette année puisque les trois soirs de fête les organisateurs ont programmé exactement le même orchestre, celui qui était déjà présent chaque année depuis de nombreuses éditions deux soirs consécutifs : "Les Mélomanes". Le programme indiquait bien trois noms différents : "Les Mélomanes" le vendredi, "Show live" le samedi et "Les légendes de la soul" un spectacle thématique le dimanche , mais c'était en réalité le même . La seule et unique différence : deux danseuses de plus le samedi soir !
Un orchestre que l'on a découvert à Trets en 2004 et vu évoluer chaque année à Trets ou dans les villages ou villes alentours, qui était de très grande qualité, un des meilleurs du Sud de la France objectivement avec une grande qualité vocale, une grande énergie etc, hélas depuis deux ans environ on a pu constater que sa qualité était en baisse et cette année le show présenté a vraiment déçu malheureusement : aussi bien sur le plan vocal (surtout chez les voix masculines qui étaient souvent éraillées, heureusement la chanteuse était bien meilleure), l'absence de choristes sur les titres, que musicalement avec à peine 4 musiciens, sans cuivres et du coup pour combler cette absence on regrettera l'abus de sons ou voix enregistrés qui nuisaient à l'orchestration des chansons. Même les jeux de lumières étaient moyens ! On ne retrouvait aussi plus l'énergie et pêche qui caractérisait cet orchestre si festif dans le passé.
Seuls points positifs en dehors de la chanteuse, les danseuses qui avaient beaucoup d'énergie, présentaient de belles chorées avec des costumes variés, mais pour une si petite scène leur nombre était vraiment très important : 6 le vendredi, 8 le samedi, alors qu'il aurait mieux valu qu'il y ait plus de chanteurs et musiciens sur scène . Le groupe composé de 3 chanteurs (2 hommes et une femme), 4 musiciens et 6 à 8 danseuses) a repris les deux soirs un peu tous les styles avec de la variété française, internationale, de la zumba, du latino, du disco, dance, rock etc. Mais l'erreur des organisateurs de prendre pour la première fois trois soirs de suite le même orchestre s'est cruellement fait sentir puisque ce dernier a présenté les deux premiers soirs quasiment le même spectacle avec de nombreux titres identiques.
Bref on repartait, chose rare, de la fête de Puyloubier bien déçu, pour la première fois le contraste avec la fête de Rousset était saisissant, en espérant que cet orchestre retrouve vite le niveau qualitatif qu'il avait dans le passé , que l'on prenait plaisir à admirer et que la fête retrouve vite sa qualité et surtout sa diversité dans la programmation. Une petite fête foraine était enfin présente autour de la place.
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Economie reportage vidéo
L'été des soirées animées chez les commerçants s'est conclue à Trets ce
vendredi 1er septembre 2017 à trois jours de la rentrée. Pour la première fois pas moins d'une quinzaine de soirées ont été proposées par les restaurants et bars tretsois, qui avaient enfin décidé d'animer le centre ville, qui a manqué tant d'animations le soir puisque la municipalité n'y a organisé à peine que 4 soirées cet été (fête de la musique, de la St Jean, du 14 Juillet et 15 Juillet) malheureusement.
Des soirées que réclamaient de plus les habitants depuis fort longtemps surtout depuis que le bar des 2 frères n'existe plus. C'est ainsi que 6 établissements tretsois ont proposé des soirées thématiques musicales tout l'été depuis fin mai : le café de la gare, le restaurant Le Safran (pas moins de 8 soirées (pour la 3e année de suite)), une alliance entre "Le café de la Renaissance" et le restaurant "Le Patio" est née et une autre entre Le bar Le Marigny et Ali Snack de l'Orient à l'Occident. Des soirées qui ont tous bien marché et ont attiré du monde et mis une belle ambiance dans le village qui était si mort les autres soirs. Les pics d'affluence ont eu lieu lors des deux marchés nocturnes organisés par Les Vitrines de Trets.
La dernière a donc eu lieu ce 1er septembre, organisée par Le bar Le Marigny et Ali Snack de l'Orient à l'Occident. Après une thématique black and white début aout, une autre 15 jours plus tard, cette fois c'était Soirée Fluo avec en dress code des vetements flashis. Celui ci n'a malheureusement pas été beaucoup respecté hormis quelques participants avec bracelets ou teeshirts fluos, mais il y avait néanmoins pas mal de monde. Des dizaines de personnes ont ainsi bravé les conditions climatiques bien difficiles en ce premier jour de septembre avec un fort mistral et des températures bien fraiches. L'ambiance y était bonne et beaucoup de monde dansaient. Comme la dernière fois un DJ avec lumières étaient présents.
Rendez vous l'été prochain pour espérons le encore plus de belles soirées festives de ce type.
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L'été s'est terminé au jardin de l'enclos par un spectacle provençal
vendredi 18 août 2017 où les cigales ont chanté jusque tard dans la nuit à Saint-Maximin. Elles accompagnaient en effet Le Condor (et son chef Jean-François Gérold) qui était en concert ce soir-là avec une température bien estivale. Un musicien qui était venu à Trets en spectacle au château en 2014 lors de la Biennale des Jupes piquées.
Musiciens et danseurs ont ainsi interprété devant un public nombreux :
Les Mohicans, La cambo me fai mau, Cuando los angeles lloran, Galoubet, Pour passer le Rhône, Amazing grace, l'Ave Maria (Jean-François Gérold l'a dédié à Marie-Madeleine) mais aussi les thèmes de Titanic et Game of thrones et bien d'autres . Dès qu'un morceau était terminé, Jean-François Gérold reprenait la parole et les cigales, qui s'étaient tues pour écouter le concert, recommençaient aussitôt à chanter.
A la fin du concert l'artiste a signé bon nombre d'autographes et posé avec ses fans.
Loin du folklore traditionnel, le Condor revendique une identité régionale forte. Son but : faire résonner l’âme de la Provence au cœur du monde.
Le Condor, c’est également le groupe provençal qui s’introduit pour la première fois dans les musiques aux racines celtes. Il repousse sans cesse les frontières musicales et s’inscrit dans la musique du monde, la musique des rencontres, riche de son patrimoine musical, il métisse ses influences
REPORTAGE DIVINE COMEDIE
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Polémiques municipalité PRESSE
Suite du feuilleton polémique consacré aux fauves installés dans la campagne tretsoise depuis début février. Un dossier très médiatisé puisqu'après France3, M6, La Provence, cet été c'est France Bleu, La Marseillaise et 20minutes qui l'ont couvert. Les deux parties continuent de s'opposer, le maire refusant la demande de l'association de s'installer et construire des installations, alors que le préfet lui a retoqué la ville plusieurs fois dans ses arrêtés ou demande depuis février. Nouvelle étape en ce mois de septembre, la municipalité a refusé leur demande de permis de construire et désormais le dossier ira devant les juges annonce l'association... Voici trois articles de presse qui retracent les derniers épisodes :
Maison de retraite pour lions et tigres à Trets: Pourquoi le projet est-il bloqué?
C’est un coin tranquille de la campagne aixoise, au pied de la montagne Sainte-Victoire. Après la zone commerciale, plus un bruit, si ce n’est les hennissements des chevaux d’un poney club. Et soudain, un rugissement. « Ça fait comme un coup de tonnerre », sourit Nathalie, une voisine. Pas plus perturbée que ça, d’ailleurs : « Franchement, les ânes ou certains chiens font plus de bruit ! » Plus de bruit que… Les trois lions et les deux tigres de Sandrine Le Bris et de Thomas Patermo.
Cette ancienne dresseuse et cet éleveur de chevaux possèdent pour l’instant cinq fauves. Ils rêvent d’en faire venir une quinzaine de plus, et d’installer un vrai refuge, en dur, sur la parcelle de 5.000 m² qui entoure leur maison. Car pour l’instant, Masaï, Coralie, Tania, Simba et Rian vivent dans un enclos temporaire et dans des boxes, perchés sur un semi-remorque.
Masaï, lionne de onze ans, grogne dans l’enclos. « Elle a ses humeurs, elle vient d’avoir une hernie discale », explique Sandrine en la caressant à travers la grille. « Le cirque Arlette Gruss a sa propre maison de retraite pour les vieux fauves, mais sinon, rien, précise l’ancienne dresseuse, qui a aussi été soigneuse. Il n’y a pas de solution : les zoos n’ont pas de place, relâcher l’animal dans la nature, c’est impossible… Souvent, les cirques les gardent avec eux sur la route, ce n’est pas idéal. » Pour Sandrine Le Bris et Thomas Patermo, le projet « est dans l’air du temps ». C’est vrai qu’un sanctuaire pour éléphants est en passe d’ouvrir en Haute-Vienne. Au contraire, la route est encore longue pour le refuge de Trets.
Des dossiers en cours d’instruction à la préfecture…
« Ça prend beaucoup de temps, on en est déjà peut-être à 500 pages de papier, je ne m’attendais pas à ça », soupire Sandrine, plus à l’aise avec un tigre qu’avec la paperasse. Au départ, l’objectif était d’ouvrir au public en avril 2018… « On vise plutôt juin », rigole Thomas. La préfecture doit rendre une décision d’ici la fin d’année au sujet de leur demande d’ouverture d’établissement d’élevage. « Il n’y a aucun retard administratif, on est dans les temps », précise un porte-parole.
Un second dossier doit être examiné pour ce qui deviendra une « installation classée pour la protection de l’environnement » (ICPE). « Le bureau d’études nous a envoyé le dossier ce mercredi matin, assure Thomas. Le site est propice, selon les experts qui sont venus. » Reste à voir si les fonctionnaires de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) seront d’accord. En tout cas, côté sécurité, tout est cadré : l’installation actuelle est légale, confirme la préfecture. Le maire va d’ailleurs devoir retirer son arrêté d’interdiction d’installation d’animaux sauvage.
Ça coince à la mairie.
« J’estime que la place des lions et des tigres n’est pas là , sur une zone agricole », martèle Jean-Claude Féraud, maire (Les Républicains) de Trets. Il ne compte pas valider la demande de permis de construire, qui expire dans quelques jours. Sa colère n’est pas retombée depuis le mois de février, quand les premiers fauves ont été installés sur la parcelle sans qu’il ne soit informé. « Ce qui me gêne, c’est entre guillemets la fourberie de la manœuvre, insiste l’édile. Leur seul but, c’est d’obtenir un permis de construire. »
Quand on lui parle des éventuelles retombées positives pour sa commune, de la visibilité que pourrait apporter un tel refuge, Jean-Claude Féraud s’agace : « Non, il n’y a pas d’intérêt économique ! Il n’y a pas d’accès, pas de sanitaires… »
Un modèle économique qui reste à trouver.
« On ne veut pas faire de business ! Ouvrir au public nous permettrait de couvrir un peu nos frais », jurent en chœur Sandrine et Thomas. Car pour l’instant, les cinq fauves leur coûtent très cher. « Environ 200 euros de viande crue par mois par animal, plus les frais de vétérinaire qui peuvent être élevés », précise Sandrine. Elle a créé une association pour pouvoir recevoir des dons et l’aide de mécènes. Et elle monte des dossiers de demandes de subventions auprès des collectivités territoriales. De multiples procédures qui, elles-mêmes, sont très coûteuses : « On a déjà eu 60.000 euros de frais ! » Et la première pierre est loin d’être posée…
Paru sur 20minutes.fr le 24/08/17 par Jean Saint-Marc
VIDEO Un arrêté jugé illégal
Pour la seconde fois, l'arrêté municipal pris par la municipalité le 2 juin dernier pour interdire la présence des fauves a été retoqué par la préfecture le 2 aout dernier, rapportait La Provence fin aout. On ne sait pas encore si la mairie en a préparé un 3e depuis !
L'arrêté pris par le maire le 2 juin réglementant l'accueil et l'installation des animaux sauvages sur la commune vient d'être jugé illégal par les services de la préfecture dans un courrier adressé au maire datant du 2 août. Rappelons qu'il concernait la présence des tigres et lion (à la retraite) sur un terrain privé (voir La Provence du 21 juillet).
Dans l'arrêté, Jean-Claude Féraud faisait état de nuisances sonores. "Considérant que des habitants du quartier de l’Espace ont fait état de nombreux rugissements de tigres et de lions; considérant que les rugissements de tigres peuvent être audibles dans un rayon de 3km au plus; considérant que les rugissements de lions peuvent être audibles dans un rayon de 5km au plus; considérant que le rugissement émis par les félins susvisés trouble le cycle biologique de certains animaux
d’élevage et d’équidés présents dans le voisinage; considérant que le rugissement émis par les félins susvisés trouble également la tranquillité de riverains; considérant que des mains courantes ont été enregistrées par la police municipale (...); considérant que la tranquillité publique est perturbée; considérant qu’en conséquence, il y a lieu de réglementer la présence des fauves dans les parties urbanisées et dévolues à l’activité agricole du territoire communal; la présence des fauves, notamment les lions et tigres, pour quelques motifs que ce soient (cirque, exhibition, hivernage, élevage…) et toutes les installations nécessaires à leur support ou accueil sont autorisées uniquement la première semaine, décomptée du lundi au dimanche, de chaque période de vacances scolaires et la première semaine du mois d’août. La limitation énoncée à cet article ne concerne que les parcelles comprises dans le périmètre des zones U et des zones A tel qu’il est défini par le Plan local d’urbanisme (…)" Cet arrêté est donc caduc.
LA PROVENCE 25 AOUT 2017
Un permis refusé
Nouvelle étape ensuite sans aucune surprise ce
samedi 2 septembre La Provence nous informe que la mairie a refusé leur permis de construire déposé en juin :
L'association "Roaar" est installée sur un terrain privé situé en zone agricole et appartenant à Thomas Patermo. S'y trouve depuis six ans une écurie privée de dressage, sur 2,5 hectares.
Elle a déposé le 6 juin une demande de permis de construire pour un bâtiment de 485 m² (dont une habitation de 25 m² pour Sandrine Le Bris, dresseuse dans un cirque pendant 27 ans et qui vit avec sa fille dans une caravane) afin d'accueillir dans des conditions optimales les fauves à la retraite (voir La Provence du 21 juillet). Car pour l'heure, les cinq animaux installés à demeure possèdent de grands enclos extérieurs et des abris séparés les uns des autres, dans de grandes remorques.
Interrogé à ce sujet, le maire Jean-Claude Féraud avait expliqué fin juillet: "Je ne suis pas contre le projet mais pas sur un terrain agricole. Je ne suis pas pour ce permis de construire car j'y vois aussi un moyen de construire une habitation sous couvert de cette association. Je ne peux m'opposer à un projet valable. Mme Le Bris est une éleveuse pro, je n'en doute pas. Si elle veut construire, elle doit le faire sur une zone naturelle."
Ce n'était donc pas tout à fait une surprise pour l'association de recevoir jeudi des mains de la police municipale, un refus pour leur permis de construire : "(...) considérant que le projet n'est pas directement lié à l'activité agricole ; considérant l'absence d'autorisation préfectorale d'adduction collective en eau potable ; considérant que les éléments du dossier ne permettent pas de garantir une accessibilité et une sécurité optimales des personnes sur le site ; considérant que les dimensions des places de parking ne sont pas conformes à la règlementation en vigueur et qu'elles sont susceptibles de créer une gêne pour la sécurité et la circulation publiques, en conséquence le projet ne respecte pas l'article R-111-2 du code de l'urbanisme (...)"
Avant de lire également dans ce document officiel qu'"aucune autorisation d'urbanisme pour une habitation de 25 m² n'a été retrouvée ; que les constructions ne sont pas surélevées des 50 cm règlementaires ; qu'elles sont situées à moins de 10 m des limites séparatives... Le projet ne respecte pas les articles A2 et A7 du PLU, le permis de construire est refusé."
"Nous sommes déçus, explique l'association. Mais nous nous y attendions. Nous allons attaquer en justice. On ressent plus dans ce refus un grief personnel qu'une décision réfléchie pour le bien-être animal. Au début, le maire avait peur que l'arrivée des fauves crée des problèmes de sécurité. En construisant un bâtiment en dur, ça ne pouvait qu'aller dans ce sens. Mais ce n'est pas ce qui l'embête le plus au fond."
LA PROVENCE 2/09/2017 Aurélie Féris
ET AUSSI PRECEDEMMENT...
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Quel avenir pour l'hébergement des tigres et lions installés à Trets ? + REPORTAGE VIDEO
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4 mois après leur arrivée à Trets, où en est le dossier des fauves ? Le maire répond...
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Avec 2 mois et demi de retard, M6 et son 12/45 diffuse un reportage sur les Fauves hébergés à Trets !
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France 3 à la rencontre des tigres et lions installés à Trets : REPORTAGE
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Des tigres & lions dans la campagne tretsoise : Toutes les infos sur l'affaire et réactions
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KOH LANTA Saison 18 c'est déjà reparti deux mois et demi à peine après la finale de la précédente édition. Et si le site vous en parle ici c'est que le casting de cette saison compte pour la première fois une tretsoise, Caroline 31ans, directrice de maison de retraite et malheureusement cette dernière a très mal démarré son aventure où les bévues s'enchaineront pour son équipe tout au long de ce premier épisode diffusé
vendredi 1er septembre sur TF1 . Des aventures que Trets au cœur de la Provence va suivre avec attention.
C’est la fin d’un long voyage pour les vingt nouveaux aventuriers de Koh-Lanta âgés de 19 à 56 ans. Direction les FIDJI cette fois pour 41 jours d'aventure pour les plus chanceux Une saison spéciale choc des générations avec d'un coté les jeunes de moins de trente ans, de l'autre les anciens les rouges. Mais ce n’est pas tout, pour la première fois dans l’histoire de Koh Lanta, deux adversaires, un rouge et un jaune, devront unir leurs forces pour peut-être changer leur avenir dans l’aventure. En effet, c’est sur l’île du Paradis perdu, battu par les vents du Pacifique Sud, qu’un aventurier de chaque tribu, un rouge et un jaune, un ancien et un jeune, partiront à la recherche de mystérieux coffres, chacun contenant un ou plusieurs avantages stratégiques. Des éléments susceptibles de changer le destin de ceux qui les trouveront !
L'épisode démarre par une arrivée à bord de plusieurs bateaux, Denis Brogniart, leur annonce le "choc des générations". Les jaunes sont les jeunes (nés avant 87), le rouges sont les seniors . La répartition faites on enchaine illico avec le premier jeu de l'aventure , celui du confort. Pour cette première épreuve, il y a deux courses en parallèle : une pour récupérer à la nage 5 kilos de riz et l’autre récupérer un maximum de matériel pour le camp sur radeau où le reste de l’équipe devra pagayer. Petite hésitation entre Thomas et Théotime chez les Jaunes pour désigner celui qui va nager jusqu’à la plage pour récupérer le riz et celui qui va pagayer sur le radeau pour embarquer le matériel du camp… mais finalement chez les Jaunes, Théotime se propose pour conquête du riz face à Romain chez les Rouges. Chaque équipe devra jouer de la pagaie et des forces pour la course du matériel. Mais le choix de Théotime plombe les jeunes : le candidat arrive bien après Romain pour les rouges, qui décroche les 5 kilos de riz. Pendant ce temps, les rouges laissent échapper le filet de pêche et les jaunes leur casserole qui sont donc perdus à jamais et n'en n'auront pas sur le camp, les rouges eux sont ralentis par caroline qui lorsqu'elle doit récuperer la bannière serre en réalité le noeud ce qui leur fait perdre leur belle avance du coup les jeunes arrivent les premiers et pourront donc se diriger sur leur camp avec tout ce qu'ils ont récupéré.
Thomas, équipe des Rouges, a gagné la course aux 5 kilos de riz et Denis Brogniart lui annonce qu’il est le premier à être désigné pour rejoindre l’ilot du paradis perdu. Mais, il ne part pas seul sur cette île et doit choisir un adversaire Jaunes pour l’accompagner et trouver ensemble un coffre sur l’ile. Comme le souligne Denis Brogniart, dans 10 jours tout évolue, une nouvelle recomposition des équipes se fera. Alors mieux vaut être bien avec ses adversaires dès le début car chacun ne sait pas avec qui dans 10 jours il se retrouvera…. Il faut préparer l’avenir et créer des liens et des alliances dès maintenant…. C’est dans leur intérêt à tous ! Romain, Rouge, choisit Thomas, Jaune. Ces deux aventuriers doivent coopérer pour trouver l’un des onze coffres cachés sur l’ile. Chacun de ces coffres contient un ou plusieurs avantages stratégiques, des éléments susceptibles de changer le destin de ceux qui les trouveront. Et pour se repérer sur cet ilot sauvage, les deux aventuriers disposent uniquement d’une carte.
Thomas et Romain finiront par trouver un coffre par hasard qui contient deux moitiés d'un collier d'immunité... ils peuvent faire ce qu'ils veulent de leur moitié respective, et s'interrogent sur le fait de le dire ou non à leur équipe respective. Romain pense qu'il ne faut rien cacher, contrairement à Thomas. Ces deux aventuriers se projettent dans l’avenir et espèrent se retrouver plus tard dans l’aventure.
Les deux camps rejoignent leur ile qu'ils découvrent pour la première fois , chacun se sépare pour chercher l'eau, trouver du bois pour essayer de faire du feu . Chez les rouges Delphine et Caroline, trouvent l'eau pendant ce temps, Maxime et Sébastien trouvent des papayes sauvages, de quoi nourrir la tribu Manu lui tente le feu avec Marguerite. Chez les jaunes c'est Marine qui trouve l'eau ils n'auront fait que ça de la journée . Les jeunes n’arrivent pas à s’écouter, personne ne sait pas où commencer. Tirailler entre se baigner, penser à la construction de la cabane et à aller chercher l’eau. Gare à la désorganisation . Sans compter que Marine et Tiffany ont du mal à apprivoiser la nature, les deux coéquipières Jaunes craquent en plein cœur de la forêt envahie par des araignées et insectes. Phobiques de ces bestioles, Marine et Tiffany s’énervent….
Le contraste est saisissant avec leurs aînés les Rouges : sereins, comme s’ils avaient toujours vécu ainsi. Ils ont de l’eau, de la canne à sucre, de la coco et presque le feu…. Mais la belle sérénité des Anciens n’a pas duré car leur nuit a été écourtée par la visite de nouveaux colocataires, les crabes.
Le lendemain, André démarre la construction de la cabane tandis que Théotime s'attelle au feu mais échoue.
Chez les rouges, Romain débarque et raconte sa journée sur l'ile et annonce qu'il a trouvé un demi-collier d'immunité, meme chose pour Thomas dans l'autre équipe
Première épreuve d'immunité de l'aventure a sonné. Pour cette épreuve, il va falloir reconstituer une fresque verticale à l’aide de six rouleaux de tissu, stockés en mer . Tout se déroule plutôt bien jusqu'à une erreur des jaunes, qui leur fait perdre pas mal de temps, mais se rattrapent sur le puzzle. C'est Manu qui prend les choses en mains pour la fresque, mais le génie autoproclamé a du mal à assurer, et les jaunes rattrapent les rouges... et les dépassent, s'imposant pour la deuxième fois consécutive ! 2e échec des rouges séniors donc
De retour sur les camps chacun tente de faire le feu, Théotime et les autres jaunes réussissent cette fois. Mais patatra, pour le troisième réveil de l’aventure aux Fidji , les jeunes sont préoccupés par l’état de santé de Marine. Depuis que Marine a posé le pied en terres fidjiennes, la candidate est fragilisée. La jeune infirmière a tout fait pour retrouver son entrain et la fougue de ses 21 ans. Mais elle ne s’est pas managée. Ce matin elle ne parvient même plus à se lever. Thomas, Tiffany et Marta positivent : ils ne peuvent pas imaginer que leur coéquipière ne revienne pas dans l’aventure. Elle est emmenée à l'infirmerie où la décision tombe déjà c'est l'abandon direct. Elle est alors remplacée par une nouvelle coéquipière : May
Le coté autoritaire de Thomas pose aussi déjà problème. André et Marvyn ne sont pas tendres à son égard et pense à l’avenir de l’équipe, le jour où l'équipe sera confrontée aux votes du conseil. Son isolement sur le camp n’est pas dû à un hasard, et il pourrait précipiter sa chute en cas de conseil. Le Normand décide de passer à l’offensive pour assurer ses arrières. D
Pendant ce temps, côté rouge, on pense à l'élimination du soir. Le camp des Makawa bruissent d’échanges sur de possible votes. Marguerite ou Delphine ? Ce qui inquiète Delphine car personne ne lui parle du conseil. La géologue essaie de se rassurer auprès d’un autre scientifique, Manu. Quant à Marguerite, l’aventurière fait tout pour se rendre utile au sein du groupe : faire le feu, ramener de quoi manger… L’heure du conseil approche et Marguerite n’arrive pas à faire jaillir la flamme.
L'heure du conseil des rouges arrivent donc, deux aventurières paraissent plus menacées que les autres : il s’agit de Marguerite et de Delphine. Au final avec 6 voix contre 4 Delphine quitte l'aventure
Un bien mauvais démarrage donc pour notre tretsoise avec sa bourde lors du premier jeu qui a couté la victoire à son équipe, elle s'est un peu rattrapée ensuite en trouvant direct l'eau sur le camp mais nouvelle défaite au second jeu pour l'immunité, sans compter une vie sur le camp déjà difficile.... Un épisode qui s'est du coup achevé au conseil, où elle n'était heureusement pas en danger.. Niveau départ on pouvait pas faire pire donc.... En espérant que ça s'arrange vite la semaine prochaine...
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